Retrouvailles ?
Eh bien, oui, une grosse interruption dans cette chronique qui est censée se faire au fil des jours... D'accord, l'engagement n'est fait que de moi à moi, c'est vrai ! est-ce une raison pour justifier cette désaffection ? Non, d'où une mauvaise conscience vis-à-vis de mes quelques (rares mais de qualité, n'est-ce pas ? ) qui s'étonnent de ce silence prolongé. Qu'en dire ? Manque de temps, c'est évident, mais est-ce une raison valable ? Le manque de temps est l'argument de tous les gens qui en ont dix fois plus que nous et qui se donnent de bonnes raisons pour dire qu'ils ne peuvent pas militer, se syndiquer, travailler pour une association, s'occuper des autres plutôt que de leur nombril, nous en connaissons tous : bref, sans doute une mauvaise raison parce qu'on sait bien, (surtout quand on est une femme dirait Stéphanie !), que le temps est extensible à loisirs... si on a quelque chose à dire ! Non, sans doute un manque d'envie dû peut-être à l'impression de se répéter.
Bon, en fait, c'est comme quand on a perdu le contact avec quelqu'un de proche (pas suffisamment proche : dans ce cas, le fil de la discussion se renoue instantanément, c'est magique). Ce n'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule... disait machin (Lautner ?). Certes, en la matière, aussi, on en a de bons exemples, mais j'ai peu de goût pour ce genre d'exercice et d'autres savent beaucoup mieux faire que moi : au hasard, not'bon maire (tiens, ça me reprend !) qui ratiocine à longueur d'éditos, avec de petits encarts en plus parsemés ça et là dans son canard. Au fait et à propos, vous avez lu son dernier édito ? Encore un ravagé de Ségolène, cela devient grave mais il est encore trop tôt pour lui proposer une carte, il n'aime pas toutes les socialistes : Martine Aubry n'a pas grâce à ses yeux... Il n'a pas non plus aimé l'article de l'opposition sur la police municipale, on s'en doutait un peu : il parait qu'on ne comprend rien, normal ! On ne faisait pourtant que répéter ce qu'on nous répond à la gendarmerie quand on va déposer une plainte, peut-être que ça ne lui est jamais arrivé ? Mais c'est la vraie vie, ça, Msieur le maire, en dehors des apéros, des fiestas et des bouffes, les citoyens vivent dans la commune, ont des soucis quotidiens, et ce ne sont pas vos policiers d'opérette qui nous aident beaucoup !
2 Comments:
Et bien, il était temps que tu t'y remettes ! aujourd'hui, c'était ta dernière chance, je prenais ma plume via internet pour te secouer les puces !... la flemme, le "ras le bol passager, la lassitude !
Tous les jours, je venais tâter le pouls de ma section "chérie" préférée du PS de LA TRINITE !
ouf, sauvé ! ça repart avec la même verve, le même sens de la formule ! acérée....
Merci... continue, continuez pour ceux qui n'ont pas la chance ou simplement le courage de mettre un blog à la réflexion de "leurs compatriotes"!!!...
CLAURIDRICK de l'ESSONNE
Quel plaisir de savoir que l'on a manqué à quelqu'un ! Rien que pour ça, ça valait la peine de tirer un peu sa flemme...
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